Dans ce #OMFScienceWednesday nous partageons d’excitantes nouvelles, le Dr Ron Davis et son équipe ont reçu un financement du NIH pour une subvention totale de 3,9 millions de dollars en 5 ans, dont 2,5 millions iront à la recherche et le reste sera destiné aux frais généraux de l’Université de Stanford (Le NIH paie toujours aux universités leurs frais généraux ou indirects en plus du montant de la subvention qui a été demandée).
La subvention financera l’étude de «l’immunologie moléculaire et monocellulaire de l’EM/SFC», afin de «découvrir la base immunologique de l’EM/SFC». Merci à Cort Johnson d’avoir écrit ce merveilleux article pour expliquer la subvention: [Lire l’article complet ici : http://bit.ly/2tGYXtH.]
Parfois, la troisième fois est la bonne. Ron Davis a obtenu (et s’est vu refuser) de nombreuses subventions auprès du NIH, mais même lui a été choqué par les refus à ses premières tentatives d’obtenir une subvention du NIH pour le syndrome de fatigue chronique (EM/SFC).
Cette fois, pourtant, la demande après du NIH est passée. Le premier essai de Davis à un comité d’examen NINDS avait été rejeté par des examinateurs ayant même refusé d’évaluer la subvention. Son deuxième essai pour un centre de recherche NIH EM/SFC avait été accueilli avec une réponse si étrange qu’il s’était rendu devant un comité du NIH pour protester. Son troisième essai, le premier devant le groupe d’examen des demandes de subvention de l’EM/SFC (Groupe spécial sur l’accentuation [ZRG1-CFS-M (80) S]), a heureusement été couronné de succès.
Cette importante subvention pluriannuelle de plusieurs millions de dollars au Centre de génomique de Stanford, intitulée «Immunologie moléculaire et monocellulaire de l’EM/SFC», durera cinq ans avec un premier versement bien apprécié de 745 000 $ cette année.
Remarquablement, depuis que les centres de recherche sur l’EM/SFC ont été annoncés à l’automne dernier, Davis, à 76 ans, a été le premier et est toujours le seul demandeur de subvention des centres de recherche EM/SFC à voir ses demandes auprès du NIH au moins partiellement satisfaites.
C’était une demande de subvention, en vérité, que l’on pouvait s’attendre à voir couronnée de succès. Elle “cochait toutes les cases”, mettant en avant des technologies de pointe et deux chercheurs hautement respectés d’un établissement universitaire de très haut niveau. C’est le genre de candidature que le NIH a dit attendre des chercheurs EM/SFC depuis des années… (Continuer de lire ici : http://bit.ly/2tGYXtH.]
L’OMF remercie Véronique pour la traduction